27/03/2015
150 morts qui pouvaient être évités : Andreas Lubitz, la Lufthansa et « le facteur humain »
Tous les professionnels de la sécurité qui ont été confrontés à des crises – attentat, crime, trahison, dysfonctionnement industriel grave – connaissent bien une vérité qui vient de se rappeler au souvenir de la Lufthansa et de sa filiale Germanwings : dans une majorité écrasante de cas, le problème, ce n’est ni la technique, ni la qualité des équipements ou leur maintenance, ni même les procédures mises en place pour gérer les situations « conformes » et les situations « non conformes ». Le problème, c’est le facteur humain...